Faîtes-vous aider d’un courtier au lieu de galérer !

Lorsqu'ils souhaitent acquérir un bien immobilier, les démarches à effectuer pour obtenir un prêt, et je dirais même plus, un prêt à des conditions avantageuses, les particuliers ont souvent de quoi s'arracher les cheveux. Heureusement, la profession a pensé à tout, puisqu'elle met à leur disposition des personnes expertes aptes à les guider dans leur projet.

Un courtier, à quoi ça sert ?

Un courtier effectue une recherche de financement (assurance incluse) pour le compte d'un particulier souhaitant acquérir un bien immobilier, ou bien renégocier son crédit. Il remplace la particulier dans ces opérations afin d'obtenir de meilleurs résultats que ceux qu'il aurait obtenu seul. Il intervient ainsi avec les banques directement au siège, et non pas auprès des conseillers d'une agence. Grâce à cette différence, le courtier bénéficie d'une marge de manœuvre plus importante et obtient parfois des accords préférentiels. 

Pour un emprunteur, cela peut avoir plusieurs effets bénéfiques. Parmi eux, citons un taux plus bas, une délégation d'assurance attractive et un rachat de crédit à de meilleures conditions. Grâce à l'intervention d'un courtier spécialiste de crédit foncier, le particulier s'évite les pénibles déplacements et démarches auprès des banques et même, petit plus appréciable, voit son dossier un peu bancal accepté plus facilement.

Mais sont-ils vraiment compétents ?

Depuis le 1er janvier 2013, le courtier est soumis au statut d'intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement et doit impérativement être inscrit au fichier de l'Orias, organisme en charge de la tenue du registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance. En cas de doute, ou simplement pour avoir la conscience tranquille, il est possible de s'assurer de la probité du courtier en se connectant au site internet orias.fr. Il faut savoir que pour avoir le droit de s'immatriculer en tant que courtier, un.e professionnel.le aura au préalable suivi une formation exigeante et qu'il/elle connaît la responsabilité civile que cela engage d'exercer cette profession. De plus, depuis peu, le mandat existant entre l'emprunteur et le courtier doit mentionner la rémunération de ce dernier ainsi que, par exemple, ses liens avec les établissements financiers partenaires.